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Ils sont très souvent empruntés par les coureurs du Tour du France, ils nous offrent des paysages à couper le souffle et sont le juge de paix de la plus grande course du monde. Pour le commun des mortels, vous, nous, ces montées mythiques sont aussi effrayantes qu’elles nous font rêver. Chaque année au mois de juillet, depuis notre canapé, on s’y voit : impérial, debout sur les pédales le regard fixé vers le sommet.

Parmi eux, il y a les 10 incontournables, les piliers, les indétronables. Ils ont façonné l’histoire du vélo et du Tour de France. Ils restent mythiques même sans être au programme de la grande boucle certaines années.

Et puis chaque année, il y a les nouveaux (ou les revenants). Plus confidentiels pour certains, plus jeunes aussi, mais pas moins spectaculaires, les 3 cols phares de chaque Grande Boucle.

On ne vous dit pas que le chemin entre le canapé et le sommet de ces 16 cols de légende sera facile mais il est essentiel. Essentiel dans votre quête de savoir, celle qui vous permettra de transmettre la passion du cyclisme et du Tour à vos petits enfants.

Dans cette perspective, voici la liste (non exhaustive) des cols que vous devrez avoir gravi d’ici la fin de votre carrière cycliste. Et n’oubliez pas : le bonheur est au bout (en haut) du chemin.

Les 10 incontournables

Le col d'Aspin (1489m) - Pyrénées

Le col d’Aspin est un monument et l’un des grands classiques du Tour de France puisqu’il a été gravi à plus de 70 reprises par les coureurs depuis 1903. Le dernier français à l’avoir franchi en tête est Thomas Voeckler, lors de sa victoire sur la 16e étape du Tour de France 2012 (Pau / Bagnères-de-Luchon). Si vous souhaitez vous attaquer à ce monstre, l’ascension la plus difficile démarre d’Arreau avec ses 12 km à 6,7 % de moyenne.

Une fois arrivé en haut, les plus courageux pourront redescendre au magnifique lac de Payolle, faire une petite pause (ou pas) et s’attaquer à La Hourquette d’Ancizan, une montée aux alentours, moins difficile mais toute aussi belle.

Thomas Voeckler en 2012 dans son « style caractéristique »
Être français, gagner une étape du Tour de France, le 14 juillet, à l’Alpe d’Huez
L’Alpe d’Huez et ses 21 virages (1803 m) – Alpes

C’est probablement le plus mythique, ou en tout cas celui qui nous aura le plus fait vibrer devant notre téléviseur. De magnifiques victoires françaises sur Le Tour y ont été signées, avec notamment celle de Christophe Riblon le 14 juillet 2013 dans une étape inédite avec deux ascensions consécutives de « L’Alpe ». Située dans les Alpes Françaises, cette ascension est longue de 13,1 km, à 8,19 % de moyenne. Sur chacun des 21 lacets numérotés de l’ascension vous trouverez un panneau où est inscrit le nom d’un vainqueur de l’Alpe d’Huez et l’année correspondante.

Montée connue pour son record (qui est plus disputé qu’une casquette Škoda au bord de la route), il est détenu par Marco Pantani (1997) avec un temps record de 37 minutes et 35 secondes… Sachez que si vous mettez moins d’une heure, vous serez déjà satisfaits ! Le petit conseil Škoda : Une fois arrivé en haut et plutôt que de faire demi-tour, poursuivez sur la route du Col de Sarenne. Sur une vieille route de montagne, les paysages sont à couper le souffle.

Le Col de la Croix de Fer (2067 m) – Alpes

Le Col de la Croix de Fer est également un classique du Tour de France : 20 passages depuis 1947. Bien plus que sa pente moyenne (27,53 km à 4,7 % sur son versant Isérois ; 30 km à 5,07 % depuis Saint-Jean-de-Maurienne, côté Savoie), c’est l’irrégularité de son ascension, combinée à sa longueur, qui rend la Croix-de-Fer si difficile à escalader. Le jeu en vaut la chandelle car vous serez récompensé par un défilé de paysages splendides : cascades qui plongent vers la vallée, barrage de Grand-Maison, Aiguilles de l’Argentière sur le flanc isérois ou Aiguilles d’Arves et chaîne de Belledonne depuis Saint-Jean-de-Maurienne.

Quelques kilomètres avant le sommet la Croix de Fer, prenez la petite bifurcation sur la gauche. Quelques centaines de mètres supplémentaires vous permettront d’arriver en haut du Col du Glandon et de faire ainsi « d’une pierre deux coups » (si évidemment on n’oublie pas de faire demi-tour pour terminer la Croix de Fer ;). Bref, de quoi en prendre plein les (jambes) yeux !

Le Col de la Croix de Fer (2067 m) – Alpes
Le col du Tourmalet (2115 m) – Pyrénées
Le col du Tourmalet (2115 m) – Pyrénées

Le “mauvais détour” est pourtant le col le plus souvent escaladé dans l’histoire du Tour de France (83 fois) et l’un des plus riches en anecdotes. On se rappelle notamment d’Octave Lapize qui lança aux organisateurs : « vous êtes des assassins ! » lorsqu’il franchit en tête le col le 21 juillet 1910, au cours de la grande étape Bayonne-Luchon (325 km), pour la première ascension dans l’histoire du Tour.

Lorsque l’on parle du Tourmalet, on cite encore aujourd’hui le courage exemplaire d’Eugène Christophe, dans le Tour de France 1913, qui, après avoir brisé sa fourche au début de la descente du col, marcha pendant quatorze kilomètres jusqu’à Sainte-Marie-de-Campan où il effectua lui-même sa réparation dans la forge d’Alexandre Torné.

En 2010, le col est franchi à deux reprises dans la même étape. Enfin, dernier fait marquant dans l’histoire du Tour, c’est ici qu’en 2019 nous avons découvert que Pinot allait un jour gagner le Tour. Pour gravir ce géant des Pyrénées, il vous faudra environ 2h, que ce soit par son flanc Ouest (17,2 km à 7,4 % depuis Sainte-Marie-de-Campan, via la station de La Mongie) ou par son flanc Est (18,8 km à 7,4 % depuis Luz-Saint-Sauveur, via Barèges).

Le col d’Izoard (2360 m) – Alpes

Situé dans le parc naturel régional du Queyras, dans les Alpes du sud, le col d’Izoard est connu pour ses paysages extrêmement rocailleux qui vous donneront l’impression d’être sur la Lune, surtout lorsque vous arriverez à la casse déserte. C’est le versant sud (15,9 km à 6,9 %) qui est le plus souvent escaladé et qui a notamment été témoin de la sublime victoire d’Andy Schleck en 2011 dont vous devez vous souvenir.

Bon, en fait ce col a surtout été le terrain de l’ultime explication de l’Étape du Tour 2017 et de la 2ème place de Tao Quéméré, alors membre de la Team Škoda.

La fin de l’Izoard avec au fond, le mythique passage de la Casse Déserte.
En 1996, Didi El Diablo (déjà présent) avait accueilli les coureurs sous la neige en haut du Galibier.
Col du Galibier (2642 m) – Alpes

Avec 60 passages, le col du Galibier figure parmi les grandes ascensions « classiques » du Tour de France. On se rappelle notamment la bagarre entre Romain Bardet et Chris Froome en 2017. Il culmine à 2642 m et sert de frontière naturelle entre les départements de la Savoie & des Hautes Alpes.

Il relie Saint-Michel-de-Maurienne et Briançon via le col du Télégraphe au nord et le col du Lautaret au sud. Par le télégraphe, cette ascension mythique est longue de 34,9 km avec une pente à 5,5% de moyenne. Oui, c’est long ! Enfin, il faut savoir que la route est fermée en hiver et sa très haute altitude le rend vulnérable aux aléas météos (y compris la neige) même en juillet. Il est d’ailleurs très surveillé quand il est sur le tracé du Tour de France.

Le col de la Madeleine (1993 m) – Alpes

Lieu monastique puis stratégique, il devient une ascension prisée par les cyclistes à partir de 1969 lorsque la route actuelle est achevée. Le col relie La Léchère, près de Moûtiers, au nord, à La Chambre, près de Saint-Jean-de-Maurienne, au sud et culmine à 2 000 mètres d’altitude. Le col de la Madeleine a été franchi au total à 26 reprises par le Tour de France. Il a été classé hors catégorie lors de ses 13 derniers passages dont le dernier a eu lieu en 2018. C’est d’ailleurs Julian Alaphilippe qui le gravit en tête.

Sur le versant sud, depuis le centre-ville de La Chambre, on compte 19 km à 8 % de moyenne. Le versant nord peut débuter soit à Notre-Dame-de-Briançon soit à Feissons-sur-Isère. Les pourcentages des trois premiers kilomètres après Feissons-sur-Isère sont rudes avec une moyenne de 10 % mais à l’ombre des feuillus. C’est d’ailleurs ce versant, avec ses petits villages, qui est le plus sympa à gravir (si vous envisagez de regarder le paysage, ce que l’on sait ne pas être l’état d’esprit de toute le monde ici).

En 2010, le patron des « Men in Glaz » Jérôme Pineau avait franchi le sommet de la Madeleine le maillot à pois sur les épaules.
Mont Ventoux (1912 m)
Mont Ventoux (1912 m) – Alpes

Connu pour la difficulté de l’ascension, le Mont Ventoux est le point culminant du massif des Baronnies et le plus haut sommet du département du Vaucluse. L’ascension du « Géant de Provence » est plus célèbre par Bédoin, sa face Sud, mais aussi plus dur de ce côté. C’est d’ailleurs cette face qui a été la plus empruntée par les coureurs du Tour de France puisque 12 des 15 ascensions ont été faites par Bédoin.

Si vous voulez vraiment valider le Mont Ventoux il faudra également le grimper par Malaucène et Sault qui sont les deux autres routes qui permettent d’arriver en haut. Point important, il faudra également penser à rester sur son vélo pour vraiment valider l’ascension, pas comme Chris Froome en 2016 ! On ne se lasse toujours pas de ces images.

Col de Peyresourde (1569 m) – Pyrénées

Le col de Peyresourde est un véritable classique des étapes pyrénéennes du Tour puisqu’il a été emprunté à plus de 60 reprises. Situé à proximité de la station de ski de Peyragudes, il se caractérise par le tapis de mousse qui recouvre les alpages au milieu duquel serpente la route. On a qu’une seule envie : faire une pause et se coucher dans l’herbe, à côté des moutons et des vaches !

Il est long de 9,9 km côté Ouest (à 6,6 % de pente moyenne) et de 15,3 km côté Est (à 6,1 % de pente moyenne). La pente irrégulière (avec des passages à 12 % de chaque côté) et le vent qui y souffle fréquemment en rafales rend son ascension plus délicate que ne le laissent entendre les chiffres bruts. Un col qu’il ne faut pas prendre de haut avant d’arriver au sommet !

Col de Peyresourde (1569 m) – Pyrénées
Le col de l’Iseran (2770 m) – Alpes
Le col de l’Iseran (2770 m) – Alpes

C’est le col le plus haut jamais emprunté par les coureurs du Tour. Situé en plein cœur du Parc national de la Vanoise, il permet de relier les vallées de la Maurienne et de la Tarentaise (il peut y avoir des ponts entre deux ennemis). Avant d’y construire une route en 1937, le col de l’Iseran fut d’abord le théâtre de nombreux mystères et drames, qu’il y fit naître l’adage suivant : « Si tous les gens qui sont morts sur l’Iseran se tenaient par la main, ils formeraient une chaîne d’ici à Val d’Isère ». Sympa !

Désormais sécurisé, le seul drame que l’on retient depuis c’est que c’est dans ces pentes que Julian Alaphilippe a perdu le Maillot Jaune. (on en pleure encore).

Aujourd’hui, l’Iseran offre deux superbes ascensions qui resteront gravées dans votre mémoire (à condition que vous fassiez les deux) : 48 km à 4,1 % depuis Bourg-Saint-Maurice sur son flanc Nord (dont 16 km à 5,8 % depuis Val d’Isère)  ou 13,4 km à 7,3 % depuis Bonneval-sur-Arc, sur le versant Sud. Au sommet, dans les derniers lacets, prenez le temps d’admirer la vue imprenable sur la crête des Leissières. Vous l’aurez bien mérité !

Les 3 cols phares du Tour de France 2023

Le col de la Loze

Comme en 2020, le col de la Loze sera le toit du Tour de France cette année. Le col de la Loze, c’est une route qui grimpe droit dans la montagne. Jonction entre les célèbres stations de Courchevel et Méribel, il est fermé l’hiver (recouvert par le domaine skiable). Il a été créé de toute pièce pour être un défi en lui-même avec la petite reine au coeur de son existence. Dessiné pour bruler les cuisses, ce col a déjà été classé comme l’un des plus dur que le Tour ait emprunté dans son histoire. 

Non soumis aux contraintes d’un col routier (et pour cause, ça n’en est pas un), le col de la Loze est en rupture avec ses pairs. Ses pentes sont abruptes, plus que de raison (ou du moins plus que ce que les autres cols peuvent s’autoriser pour garder leur rôle de voie d’accès entre 2 vallées). Les pourcentages sont irréguliers, au point de rendre l’effort ingérable, passant en moins d’un kilomètre de 8 à 16%. 

C’est à faire au moins une fois dans sa vie (pas sûr que vous ayez envie de le faire une 2nde fois de toute façon). 

Le puy de Dôme

La dernière fois que le Tour de France s’était attaqué à ce volcan, c’était en 1988. 35 ans que les coureurs du TDF n’avaient pas dû affronter ces 4,3 derniers kilomètres d’enfer, tous à plus de 11% de pente moyenne. 

Cela devrait nous donner un beau spectacle. Quant à vous, vous pourrez pour une fois vous en délecter sans vous projeter dans la douleur de ce que représente cet effort. En effet, la partie finale du col est fermé aux vélos (uniquement ouverte pour les coureurs du Tour cette année). Cependant, l’approche reste belle avec 10 kilomètres loin d’être facile au départ de Clermont-Ferrand. Vous vous arrêterez au parking du panoramique des dômes et face à vous s’élèvera le sommet du volcan en sommeil. Vous ne serez peut-être pas allé en haut mais vous pourrez dire « j’ai roulé sur un volcan ». Et rien que pour ça, ça vaut le coup. 

Le col de Marie Blanque

Pour certains d’entre vous, il aurait sa place dans les 10 incontournables. Peut-être y fera-t-il son entrée un jour ? Ce qui est sûr, c’est que les retours sont unanimes sur ce col : il est parmi les plus durs empruntés par le Tour de France.

Pas forcément le plus long (8km seulement et probablement la raison pour laquelle il ne peut être classé Hors Catégorie), il n’en est pas moins redoutable. La raison de sa difficulté tient dans ses 4 derniers kilomètres qui sont tous à plus de 10% de pente moyenne. Comme un mur qui se dresse devant vous, ces 4 kilomètres en paraissent le double. Quand vous vous demandez quand est-ce que ce calvaire se termine, le coup de grace arrive avec un avant dernier kilomètre à… 13,6% de pente moyenne. 

Bref, il faut le voir pour le croire (et le grimper pour comprendre pourquoi il est dans ce top 3) 

Les 3 cols phares du Tour de France 2022

La Super Planche des Belles Filles

Qui a dit que les cols mythiques étaient forcément dans les Alpes ou les Pyrénées ? Voilà plusieurs années que le massif des Vosges offre à la grande boucle sa plus belle montée en guise d’apéritif ou de digestif (comme en 2020) : la Planche des Belles Filles. Montée courte et raide au départ de Plancher les Mines, elle a vu Tadej Pogacar triompher sur Primoz Roglic lors du Tour de France 2020 au terme d’un épouvantable chrono. En 2019, l’organisateur du Tour de France avait décidé d’en éditer une version rallongée et accidentée : la Super Planche des Belles Filles ! Cette Super Planche des Belles Filles c’est 7km, 9% de pente moyenne, de nombreux passages à plus de 10% et surtout : un terrible final en gravel à plus de 20% de pente. Quand on se rappelle cette arrivée, ça nous donne des frissons (bon malheureusement on vous garantit pas la foule en délire si vous y aller un dimanche matin).

Montée de Peyragudes

Son arrivée unique en haut de l’altiport a grandement contribué à rendre cette montée spectaculaire. Et pour cause, les coureurs produisent leur utlime effort après 8km à 8% en remontant une rampe de lancement conçue pour que les avions puissent décoller (en descente donc) sur une distance deux fois moins importante qu’un aérodrome classique. Le résultat est effrayant : 470 mètres à plus de 15% de pente. Cet altiport avait notamment vu briller Romain Bardet en 2017, auteur d’une étape pyrénéene sans faute.

Hélas, vous ne pourrez probablement pas vous mettre dans la peau de l’Auvergnat triomphant lors de votre prochaine sortie dominicale car l’altiport n’est pas ouvert aux cyclistes. Vous pourrez le contourner pour arriver au-dessus. Un peu moins symbolique certes mais tout aussi difficile physiquement. Mais comme pour toute quête, l’objectif compte moins que la route pour l’atteindre. Et la route vers Peyragudes vaut le détour. Vous traverserez les alpages pyrénéens dès la sortie de Loudervielle, vous rappelant pourquoi vous vous infligez une telle souffrance. En parlant de souffrance, on vous conseille de gérer votre effort car la fin ne vous fera pas de cadeau, notamment le redoutable passage de La Sapinière.

Le col de Granon

Le retour du Granon ! Il faut remonter à 1986 pour retrouver la seule et unique arrivée au sommet de ce cul-de-sac haut alpin. Niché à mi chemin entre le Galibier et l’Izoard, le Granon ne joue pas dans la même cours. Un revêtement cabossé et des courbes abruptes redonne à cette montée une ADN pittoresque, digne des exigeants cols alpins face auxquels les armées butaient lors des grandes conquêtes. S’attaquer au Granon c’est s’attaquer à l’histoire des Hautes Alpes.

Assez parlé de patrimoine, parlons sport ! Pour sûr, aucun des coureurs de ce Tour de France 2022 n’aura jamais escaladé ce col dans le cadre du Tour de France. Même si les favoris auront effectué des reconnaissances on imagine que cette ascension va nous réserver des surprises, frénésie de la course oblige. A Chantemerle, les coureurs (et vous quelques jours plus tard après avoir rêvé devant votre télé), partirez pour une aventure longue de 11,3km à… 9,2% de moyenne ! Oui oui, vous avez bien lu. Pas un kilomètre de cette ascension ne sera en dessous des 8% de pente alors que les 5ème, 6ème et 7ème kilomètres seront eux tous les trois au-dessus des 10% de pente moyenne. Vous l’aurez compris : le Granon se mérite. Mais une fois en haut, vous ne serez pas déçu de cette escalade !

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