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Qui passera en tête au sprint intermédiaire ? Échappée ou peloton ? Pendant le Tour de France 2024, joue avec Škoda et parie sur les 5 premiers coureurs à passer en tête des sprints intermédiaires. Un classement quotidien et général récompensera les meilleurs ! Alors si tu apprécies de suivre la plus grande course cycliste du monde en t’amusant avec des jeux de pronostics ou autres fantasy leagues, le “Tour des sprints inter” est fait pour toi !

Sur chaque étape :

  • Le 1er du classement du jour remportera un Maillot Vert dédicacé
  • Le 2e et le 3e du classement du jour remporteront un bob collector Škoda

Au classement général :

  • Le 1er du classement au nombre de points remportera un vélo Lapierre et une invitation pour une journée VIP sur le Tour de France Femmes by Zwift 2024
  • Le 2e et le 3e du classement au nombre de points remporteront chacun une invitation pour une journée VIP sur le Tour de France Femmes by Zwift 2024
  • Le 4e et 5e du classement au nombre de points remporteront chacun un prêt d’un véhicule Škoda

Pour jouer, rendez-vous sur : prono.skodawelovecycling.fr

NOS CONSEILS

Tu aimes la prise de risque ? Tu veux tenter de trouver quel coureur va s’échapper et passer en tête du sprint intermédiaire, pour espérer être le grand vainqueur du jour et remporter un Maillot Vert Škoda ? Nous te conseillons 10 coureurs que l’on va très certainement voir souvent à l’avant sur les routes de juillet 🤞

Raul Garcia Pierna (Arkea-B&B Hôtels) :

Articulée autour d’Arnaud Démare pour les sprints massifs et de Kévin Vauquelin en montagne, la formation bretonne est également armée pour se montrer à l’avant. Véritable 4×4 tout terrain, l’Espagnol a le profil idéal pour flairer la bonne échappée tout au long de ces trois semaines. Il devrait bénéficier d’une certaine liberté.

Fred Wright (Bahrain Victorious)

C’est l’homme rapide de cette équipe. Rarement favori en cas d’arrivée massive mais souvent dans le coup des classements par points sur un Grand Tour (2e sur le Tour d’Espagne 2022, 11e sur le Tour de la même année), le Britannique s’installe comme un carte fiable sur les terrains punchy, voire même de moyenne montagne. Vous devriez le voir souvent échappé, à la poursuite d’une première victoire d’étape sur une épreuve de trois semaines.

Bryan Coquard (Cofidis)

Et si c’était LE coureur sur lequel miser ? Il est toujours à l’affût du moindre point à grappiller en vue du Maillot Vert Škoda. Troisième du classement par points l’année dernière, le « Coq » avait profité des étapes montagneuses pour se glisser dans les échappées et remporter quelques sprints intermédiaires. Le Français était également toujours placé pour jouer les points restants dans le peloton. Une valeur sûre.

Paul Lapeira (Décathlon-Ag2R La Mondiale Team)

Sur un véritable nuage cette saison, le tout nouveau champion de France voudra montrer le maillot. À l’aise sur le plat, en bosse et débrouillard en montagne, le maillot bleu-blanc-rouge sera une belle carte à jouer dans les coups devant. À chaque fois qu’il sentira un sprint intermédiaire approcher, s’il est dans l’échappée du jour, la ferveur populaire lui donnera envie de franchir la ligne le premier.

Alberto Bettiol (EF Education-EasyPost)

Même si l’équipe américaine cherchera à mettre Richard Carapaz sur orbite pour le général, elle a déjà prouvé par le passé qu’il fallait compter sur elle pour se montrer partout, tout le temps. Certes équipée pour les sprints avec Marijn van den Berg, elle ne se privera toutefois pas d’animer les étapes. Elle pourra pour cela compter sur un classicman dans l’âme, Alberto Bettiol, maillot de champion d’Italie sur les épaules, pour chasser les étapes piégeuses qui correspondent à son profil.

Laurenz Rex (Intermarché-Wanty)

Pas vraiment pourvue d’un leader pour le général, l’équipe belge se distinguera par son ADN : jouer tous les coups devant. Laurenz Rex a tout pour être l’homme qui briguera la combativité. De quoi en faire un coureur intéressant à suivre pour les sprints intermédiaires, notamment en plaine, lui qui a brillé en début de printemps sur les courses de ses Flandres natales.

Derek Gee (Israel - Premier Tech)

Ultra offensif sur les routes du Giro d’Italia 2023, le Canadien s’y était révélé avec trois deuxièmes places, mais également une deuxième place finale au classement de la montagne et par points. Très solide sur le Dauphiné avec une victoire d’étape et un podium au général, il sera l’homme à suivre dès que la route s’élèvera. Néanmoins prudence : il faudra qu’il soit décroché de la course au Maillot Jaune pour espérer courir à l’avant. Car maintenant, Derek Gee fait peur… !

Julien Bernard (Lidl-Trek)

Le Français est en condition, comme souvent à l’approche du mois de juillet. Fidèle équipier, il pourrait profiter de l’absence de coureur fiable pour le général, après le forfait de Tao Geoghegan-Hart. Coureur passe-partout, deuxième des Championnats de France cette année, et s’il avait carte blanche pour sa quatrième participation au Tour de France ? Si tel est le cas, nul doute qu’on le retrouvera souvent dans le coup.

Oier Lazkano (Movistar Team)

Flandrien, baroudeur, puncheur et même grimpeur : l’Espagnol sait tout faire. Doté d’une endurance à faire pâlir un athlète ultra distance, il sera un joker à suivre pour jouer les étapes, que ce soit en plaine ou en altitude. En plus, dans son équipe Movistar, Enric Mas ne devrait probablement pas le priver de libertés, le grimpeur espagnol ayant l’habitude de souvent naviguer seul en montagne.

Thomas Gachignard (Team TotalEnergies)

L’équipe de Jean-René Bernaudeau, invitée sur ce Tour de France, sera dans tous les coups. Elle n’a pas le choix : montrer le maillot, coûte que coûte pour exister. Si Steff Cras sera une bonne option pour une belle place au général, l’identité de la formation vendéenne est résolument offensive. Elle pourra compter sur Thomas Gachignard, doté d’un excellent sens tactique, pour se glisser dans la course des classements annexes.

📸 © A.S.O./Pauline Ballet/Billy Ceusters/Charly Lopez